– Il est minuit.
– Je sais.
Pero el tiempo parece detenerse. On a parfois quitté l’endroit et volé sur l’autorute, avec les limières des avios comme des oiseaux nocturnes. On a parfois quitté le temps et tiré des draps de la nuit pour nous trouver nus de prétextes.
A veces tus labios sonríen cuando me besan. Tes lèvres, tes fauves lèvres, je leve le regard au ciel et la lune est ton sourire, je fume deux, trois fois, puis je pense à toi.
Dis-moi, marée nocturne, où ma petite larme va s’ârreter? Où ma petite larme ve te rencontrer? Pourquoi tu méprise mes traces? Pourquoi tu les effaces? Répond-moi! Pero sólo mojas mis pies.
À cet instant là, qu’on se trouve serré dans nos bras, je ne pense qu’à toi et je te laisse avec les yeux fermés pour continuer mon petit chemin sur ton cou, ce petit chemin qui descend sur la peau de ta poitrine qui fleuri à chaque bisou que je pose. J’ai trop envie de toi.
– Il est minuit.
– Je sais.
Mais on a tout le temps pour nous croquer. Todo el tiempo.
1 comentario:
esta foto me gustó por bonita y triste
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